• Coordonnées 51°02′56″N 2°21′51″E / 51.04889, 2.36417 Pays France Localisation Dunkerque, Nord Construction 1842 Hauteur 63 m Élévation 66,35 m Portée 28 milles (environ 50 km) Feux 2 éclats blancs 10s Optique Optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. focale 0,50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne Halogénure metallique, 1000 W Aide sonore Non Automatisation 1985 Gardienné Non Visiteurs Oui (musée portuaire) Protection : Classé MH (2010)

             Phare de Dunkerque        Phare de Dunkerque

              


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  • Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de Phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Précédemment, le fort lui-même avait été volontairement démoli en 1713 (conformément au traité d'Utrecht). Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825.

    C'est, en France, le plus haut de sa catégorie. Un escalier en colimaçon de 276 marches mène à sa lanterne.

    En langage de gardiens de phares de l'époque, c'était un "paradis", proposé seulement en fin de carrière, c'est-à-dire, offrant une situation confortable par rapport aux phares des îles (purgatoires) ou ceux perdus en mer (enfers).

    Phare de Dunkerque          Phare de Dunkerque


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  • L'église Saint-Michel, de style gothique méridional, date en grande partie du XIIIe siècle, en dépit de remaniements au XVe siècle. Le clocher date du XIVe siècle. L'intérieur conserve des fresques d'inspiration renaissance réalisées par le peintre Gayral de 1841 à 1844 et plusieurs tableaux datant de cette période (Saint Louis de Gonzagues en prière, Apothéose de saint Jacques...).

    Cordes sur Ciel (81) Tarn

     

    Cordes sur Ciel (81) Tarn

     

    Cordes sur Ciel (81) Tarn


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  • Quelques enseignes de métiers à Riquewihr (haut-rhin)

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"

     

     

    Riquewihr (68) Haut-Rhin "Enseignes de métiers"


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  • La Tour du Leughenaer est une tour octogonale de 30 mètres de haut à Dunkerque. Érigée vers 1450, cette tour est le monument le plus ancien de la ville. Elle a été édifiée par Jacques Desfontaines, entourée au 18e siècle d'une plate-forme de surveillance du port, puis rehaussée en 1814 pour y installer une lanterne de phare. Elle a conservé une grande partie de ses dispositifs techniques du 19e siècle.

    La Tour est classée Monument Historique en 1995.

    La légende des naufrageurs

    C’est bien après son édification qu’elle fut affublée du surnom de "Tour du Menteur". Elle fut baptisée ainsi suite à l’échouage, sur les bancs de sable de la rade, de nombreux bateaux pourtant guidés par les signaux émis de son sommet. Au fil des ans, la légende des «naufrageurs» pris forme : les Dunkerquois auraient envoyé de faux signaux afin d’échouer volontairement les embarcations et les piller. En réalité, si certains navires n’atteignaient jamais le port, c’était surtout à cause du chenal d’accès trop sinueux.

    Tour du Leughenaer


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  • « C'est un village fortifié. Tout au bout de sa pointe et dominant le lac léman, il est étroitement serré encore dans son enceinte disparue ; j'entends qu'il n'a point osé en franchir la ligne, à présent fictive et il est resté embusqué derrière ses deux tours qui défendent ses deux entrées ».
    « On s'enfonce sous leur voûte à ogive et, devant soi, c'est la pente raide des petites rues caillouteuses, c'est un dégringolement ramassé de petites maisons à toits aux grosses tuiles jaunes, c'est enfin, dans le bas, le château commandant le port : un gros cube de pierre, avec une terrasse, et, sur ses murs guerriers, s'allonge et flotte au vent la pacifique vigne vierge ».
    "Texte de Charles-Ferdinand Ramuz, extrait de "Un coin de Savoie " (1909-1942)

     

     

    YVOIRE (74) Haute-Savoie

     

     

     

    YVOIRE (74) Haute-Savoie

     

     

     

    YVOIRE (74) Haute-Savoie


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    Cordes sur Ciel (81) Tarn


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